de la grande confusion émergent les mondes possibles …
Après une année de pandémie, un monde possible pour moi et mes enfants serait un nomadisme entre la ville et les forêts loin de tout. Je conçois le rêve d’une liberté à vivre les saisons des cycles annuels, en commutant des quartiers de la très grande ville, aux abris cachés sous les arbres … selon nos envies professionnelles et scolaires … selon les besoins du quartier et du village. Transformer la frénésie des activités loisirs, en un temps et un espace de vie où on se met à la disposition d’autres idées, personnes et créations. Peut être qu’il faudrait inventer un modèle de transhumances entre les quartiers des très grandes villes et les abris reculés pour générer un brassage d’expériences et d’idées qui comblerait les vides creusés par les algorithmes des réseaux sociaux ? Peut être qu’il faudrait faire des éléments naturels notre réel … notre capacité à créer une beauté qui dépasse notre condition individuelle une valeur ?
Les éléments naturels, l’exigence de la beauté, les frissons de la séduction pour se retrouver au moins en rêves …
